«Peu importe les dommages. C’est mon cœur qui est touché», se désole Ben Rouinne, responsable du Centre.
Le centre musulman avait déjà subi une série de saccages sur les matériaux de construction au début du chantier en 2014. Malgré l’incompréhension de certaines personnes devant la construction d’une petite mosquée à Sept-Îles, Ben Rouinne garde une vision d’ouverture.
«Si c’est du racisme, c’est déplorable. Sinon, c’est quelqu’un qui a besoin d’aide. Moi je suis prêt à l’aider, à le rencontrer. Je suis Septilien et lui aussi. On doit s’entraider.»
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