Ce livre a été signé par des diplomates, des commerçants, des professeurs d’université, des écrivains, des traducteurs, des étudiants en persan et des Iraniens résidant en Bulgarie.
Hengel Herbetzov, du ministère bulgare des affaires étrangères, a présenté ses condoléances à la famille de l’Ayatollah Hashemi Rafsanjani « qui a fait beaucoup d’efforts pour le rapprochement des deux pays », a-t-il dit.
Madame Shiri Ostari Rasjid, ambassadrice d’Indonésie en Bulgarie, a écrit que la rencontre entre Suharto, ancien président de la République d’Indonésie, et l’Ayatollah Hashemi Rafsanjani, avait ouvert une nouvelle page dans les relations entre les deux pays.
Un Iranien résidant à Sofia, a écrit que la perte du « soutien de l’imam » et de « l’ancien collaborateur du Guide suprême » avait causé la tristesse des amis de la République islamique d’Iran.
Un écrivain bulgare a écrit que l’Ayatollah Hashemi Rafsanjani était un grand politicien et un religieux sincère, et a présenté ses condoléances au peuple d’Iran.
L’ambassadeur du Pakistan a écrit que l’Ayatollah Hashemi Rafsanjani était un politicien intelligent « de qui on pouvait beaucoup apprendre ».
A l’occasion du décès de l’Ayatollah Hashemi Rafsanjani, le drapeau iranien a été mis en berne à l’ambassade iranienne et aux services culturels de Sofia où une cérémonie a été organisée le 12 janvier 2017.