Lors d'une réunion sur la « Coopération des pays islamiques pour le renforcement et le développement d’une meilleure gestion politique », organisée le 31 novembre 2020 par la 34ème Conférence internationale sur l'unité islamique, elle a souligné : « L'absence de définition claire des limites des droits et des libertés, et de la création d'une unité identitaire constituent un obstacle majeur à la cohérence de la constitution. Certaines factions irakiennes n'acceptent pas la constitution et d'autres factions jouissent d’une plus grande influence. Les divisions entre les différents groupes ethniques et factions en Irak, se sont donc élargies et ont mis en danger la stabilité du pays dans les domaines sociaux, politiques et de sécurité. »
« Le mécontentement populaire, a-t-elle ajouté, face au manque de services, s’est développé et la présence et les ingérences étrangères sont le plus grand obstacle à la création d’un gouvernement uni et représentatif. Nous musulmans, sommes tous responsables de notre pays et des autres pays islamiques. Comme les bonnes et les mauvaises décisions du passé nous ont touchés, nos décisions d’aujourd’hui affecteront le présent et l’avenir de notre pays ».