Maulana Kaleb Jawad, secrétaire général de l'Assemblée indienne des oulémas et éminent religieux chiite, et l'éminent religieux sunnite Maulana Khalid Rashid Farangi, ont condamné Waseem Rizvi et appelé à son arrestation pour avoir tenté de perturber la paix et pour blasphème.
Rizvi avait déclaré dans cette demande que « ces versets avaient été insérés dans le Coran après le Saint Prophète (psl) » et « encourageaient la violence ».
Maulana Kaleb Javad a déclaré que Rizvi devait être arrêté immédiatement pour blasphème, qu’il était un membre des forces antimusulmanes et qu’il tentait de profiter d’une immunité en tant que président du Conseil des Waqf (Dons islamiques)
Maulana Fazl Manan, dirigeant sunnite, et Sebtin Nouri, dirigeant chiite, ont émis une fatwa contre Waeeim Rizvi, considéré comme un apostat et hors du cercle de l’Oummah islamique.
Maulana Fazl Manan a déclaré : « Rizvi est un agent israélien qui cherche à détruire la paix et l'unité qui existent dans la société ».
Maulana Kaleb Sabtin Nouri a déclaré : « Ce n'est pas la première fois que Rizvi joue avec les sentiments religieux. Ses intentions sont malveillantes. Si le gouvernement ne l'arrête pas, il va chercher à provoquer le chaos. Rizvi n'est ni chiite ni musulman. Dieu a pris Lui-même, la responsabilité de préserver Son Coran et a dit qu’un seul mot ne sera changé jusqu’au Jour du Jugement. De graves poursuites judiciaires ont été engagées contre Rizvi et le gouvernement devrait l'arrêter immédiatement pour ses menaces contre la paix ».
Un groupe de musulmans a manifesté le 13 mars 2021, devant son domicile dans le quartier cachemiri de Lucknow, et a brûlé ses posters.
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