Selon Hungary Today, István Szabadi représentant du parti "Notre Partie" (Mi Hazánk), a prétendu, lors d’une conférence de presse, que les animaux n’étaient pas mis sous sédation avant l'abattage casher ou halal, ce qui leur cause des souffrances.
Szabadi a souligné que son plan était conforme aux lois et à la pratique européenne, parce que des restrictions similaires étaient en vigueur dans plusieurs pays européens dont en Belgique, au Danemark, en Norvège, en Suisse, en Suède et en Slovénie.
Károly Csott, chef du département pour les droits des animaux auprès de "Notre Patrie" a souligné pour sa part que le parti en question soutenait depuis la fondation les droits des animaux, rejetant les violences envers les animaux et appelant à des sanctions contre ceux qui violent ces droits.