Il a appelé à un cessez-le-feu immédiat et à la reprise des négociations pour la libération des prisonniers et l’instauration d’une paix durable.
Lors de sa prière de l’Angélus du dimanche, le souverain pontife a déclaré : « Je suis profondément attristé par la reprise des attaques violentes contre Gaza, qui causent un grand nombre de morts et de blessés. »
Avant même d’être hospitalisé pour une pneumonie, le Pape dénonçait déjà la crise humanitaire à Gaza, la qualifiant de « dangereuse et honteuse ». Dans un message adressé aux diplomates du Vatican, il avait notamment évoqué le sort des enfants exposés au froid hivernal en raison de la destruction des infrastructures vitales, affirmant : « Nous ne pouvons pas accepter que des enfants meurent de froid à cause du bombardement des hôpitaux et des coupures d’électricité. »
Récemment sorti de l’hôpital après cinq semaines de soins, le Pape François poursuivra sa convalescence au Vatican, d’où il devrait continuer à plaider pour la fin des violences et une solution pacifique au conflit.