Les responsables de l’université publique de Sumqayit ont refusé de répondre aux questions des journalistes et du site internet « valeur et hijab » qui réclamaient le respect des droits islamiques.
Les défenseurs de l’hijab sur les réseaux sociaux ont demandé qu’une solution soit apportée à ce problème précisant que les filles ont droit à l’éducation et que le gouvernement qui prétendait respecter la religion, devait aussi respecter les droits des croyants.
Les milieux islamiques ont aussi réclamé la libération des religieux qui ont été emprisonnés pour avoir condamné cette décision.
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