Dans le programme du parti lancé mardi 20 octobre, il est notamment question d’imposer un délai de dix ans supplémentaires avant l’obtention d’un visa de résident aux personnes venant de pays musulmans.
La présidente du parti, Debbie Robinson, s’exprime volontiers sur « le mal que fait l’islam à l’Australie » et appelle à « reconstruire le Lucky Country », le « pays chanceux », surnom donné à l’île-continent.
L’ALA s’inspire d’un parti néerlandais d’extrême droite, le Parti pour la liberté (populiste, xénophobe), la formation de Geert Wilders.
Le député devait d’ailleurs participer au lancement d’ALA, dans la soirée de mardi à Perth, en Australie-Occidentale.
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