Selon tsa-algerie, à la tête de son restaurant Cuisine en ville depuis 2015, il propose des menus raffinés, sans alcool, inspirés à la fois de la tradition culinaire française et des saveurs algériennes.
Formé auprès des plus grands noms comme Guy Savoy ou Alain Ducasse, et lauréat du prix Taittinger, Boukhari a su imposer une vision exigeante et novatrice du halal. Son passage remarqué dans l’émission « Un dîner presque parfait – El Djazaïr » lui a valu une reconnaissance en Algérie.
Fier de ses racines, il mêle chakchouka au safran et gnocchis à la semoule dans une carte où la merguez gastronomique côtoie les bouillons d’épices.
Refusant toute étiquette communautaire, il souhaite démocratiser la haute cuisine halal et prouver qu’elle peut rivaliser avec les grandes tables françaises.
Avec des prix accessibles (de 39 à 65 €), une sélection soignée de fournisseurs et une fidélité grandissante, Cuisine en ville s’impose comme une adresse incontournable. Karim Boukhari incarne ainsi une nouvelle génération de chefs, alliant exigence, identité et ouverture.