
Selon le site lematin.ma, cette initiative s’inscrit dans la volonté de structurer et de renforcer le champ religieux à l’échelle nationale.
Chaque délégation régionale a publié les besoins spécifiques, avec une forte demande pour la prédication et des postes répartis également entre l’imamat et l’adhân. Casablanca-Settat arrive en tête avec 237 postes, suivie de Marrakech-Safi (170 postes) et Tanger-Tétouan-Al Hoceïma (138 postes).
Les autres régions, comme Fès-Meknès, l’Oriental ou Rabat-Salé-Kénitra, offrent également des opportunités, tandis que les régions sahariennes présentent un volume plus restreint.
Les candidats doivent répondre à des critères précis : être majeurs, avoir une conduite exemplaire, être attachés aux valeurs religieuses et nationales, et posséder une maîtrise du Coran adaptée à la mission visée. Le dépôt des dossiers se fait exclusivement auprès d’une seule délégation régionale et comprend pièces d’identité, attestations scientifiques et casier judiciaire.
Après sélection administrative, les candidats participent à des épreuves pratiques et théoriques. Le calendrier national prévoit la clôture des candidatures le 8 décembre 2025, avec un début des épreuves le 29 décembre.